Origine des produits et étiquetage nutritionnel simplifié : il est temps de donner satisfaction aux consommateurs

La CLCV rend publique son étude sur l’étiquetage alimentaire, menée conjointement avec l’Inra. Les résultats confirment qu’il y a nécessité de donner rapidement suite aux attentes des consommateurs, notamment sur l’indication de l’origine des produits transformés et la mise en place d’un étiquetage nutritionnel simplifié.

Depuis des années, la CLCV milite pour la mise en place d’un étiquetage clair, fiable, pratique et pertinent afin d’aider les consommateurs à faire leurs achats en toute connaissance de cause. Dans cette étude, nous avons notamment confronté les déclarations des consommateurs à leurs comportements réels d’achat. Au total, plus de 2 000 personnes ont participé à cette étude réalisée en plusieurs phases (enquête en ligne et en face-à-face, groupes de discussions).

Constats et enseignements de cette étude, les consommateurs souhaitent :

– avoir accès à davantage d’informations, particulièrement sur l’emballage des produits. Mais ils en font un usage limité lorsqu’ils font leurs achats (seul un quart des informations disponibles est vraiment regardé). Globalement, le prix et l’origine des produits demeurent les informations les plus consultées : elles sont respectivement prises en compte dans 35 % et 33 % des décisions d’achat. Suivent la nutrition, la marque et les labels (23 à 25 %).

– en priorité, que que l’emballage soit clarifié, c’est-à-dire que les informations disponibles soient simplifiées, en particulier celles relatives à la nutrition et aux modes de production et procédés de fabrication.

Retrouvez l’article complet sur www.clcv.org

Communiqué de presse : chauffage urbain à Paris

Ci-dessous le communiqué de presse de la CLCV Paris sur le chauffage urbain.

Mais la CPCU revend de la vapeur d’eau à d’autres délégataires de la région parisienne entre autres, CVD  « Choisy Vitry Distribution ».

Nous espérons que, lorsque nous contrôlerons les charges notamment à la Semise, la baisse du cout de l’énergie bénéficiera aux locataires contrairement à Paris.

Communiqué de presse
20  février 2017

Chauffage urbain à Paris
La mairie doit reprendre la main sur un service qui méprise l’usager

Au cours de l’année 2016, les usagers de la compagnie parisienne du chauffage urbain (CPCU) attendaient une baisse de 15% sur leur facture. Il leur avait été promis que l’approvisionnement devenant plus écologique, ils bénéficieraient d’une baisse du taux de TVA. Cette baisse de TVA a bien eu lieu, mais la compagnie ne l’a pas répercutée sur les tarifs.

Cet incident est le dernier épisode en date d’une gestion dispendieuse, opaque et qui ne respecte pas l’usager. La CLCV de Paris a donc demandé à la mairie de Paris de reprendre la main sur ce service dont la maîtrise a été confiée, sans contrôle et sans discernement, à une filiale d’Engie.

En effet, la CPCU fait l’objet de critiques intenses depuis une décennie par les institutions de contrôle

Retrouvez la suite sur le site www.clcv.org

Rappels de produits alimentaires : mal informés, les consommateurs s’exposent à des risques

La CLCV rend publique son enquête qui recueille l’avis de 1 000 consommateurs sur les rappels de produits alimentaires : 77% considèrent qu’ils sont insuffisamment informés sur le sujet et 74% sont prêts à ce que les enseignes utilisent leur carte de fidélité pour les en avertir (Notons qu’il est assez rare de constater que les consommateurs sont prêts à accepter une telle utilisation de leurs données personnelles).

Il a été mené également un état des lieux de la pratique des rappels et du trop faible engagement des pouvoirs publics. Nous avons constaté qu’en dehors des affichettes en magasins et de la diffusion de l’information dans les médias, l’accès à l’information concernant les rappels n’était pas aisé. En effet, les avis sont dispersés sur de nombreux sites : ceux de certains distributeurs, des administrations (qui en diffusent peu), ou encore les sites des fabricants (qui en diffusent très rarement), etc. Lire la suite…

Achat sur Internet

Achat chez un éditeur : par exemple Boulanger ou Sephora : Ils vendent leurs produits et sont responsables de ce qu’il proposent à la vente. En cas de réclamation c’est à eux qu’il faut s’adresser, vous bénéficiez de toutes les garanties légales.

Achat chez un Hébergeur : Amazon ou Rue du Commerce sont les plus connus mais aussi la FNAC ou Darty proposent des produits pour lesquels ils ne sont que des intermédiaires. Si la transaction se passe mal, ils se dégagent de toute responsabilité.

Autres cas de figure : les sites qui mettent des particuliers en relation entre eux tel Le Bon Coin, si la transaction se passe mal, l’acheteur doit se débrouiller tout seul, de plus il ne bénéficie ni du délai de rétractation comme dans les autres achat à distance ni de la garantie légale. Ou des achats sur des sites étrangers où la loi française ne s’appliquent pas.

Aussi soyez vigilants et pour acheter en toute connaissance de cause, regardez bien à qui vous avez affaire. En fonction du montant de la transaction il est parfois plus intéressant de choisir la sécurité.

Pour plus d’information rendez-vous sur le site www.clcv.org

Changer de banque : plus facile !

Votre nouvelle banque peut se charger des démarches à votre place pour que le transfert ait lieu sans encombre. Ce service est gratuit.
Déjà proposé par les banques, le service de mobilité bancaire dans sa nouvelle version entre en vigueur à compter du 6 février 2017. Il permet de confier à votre nouvelle banque le soin de prévenir les émetteurs de virements et de prélèvements réguliers effectués sur votre compte de vos nouvelles coordonnées bancaires. De quoi faciliter les changements.

Procédure à suivre

Si vous souhaitez utiliser ce service gratuit, vous devez autoriser expressément l’établissement d’arrivée (votre nouvelle banque) à effectuer en votre nom les formalités liées au changement de compte. Lire la suite…

Achats dans les salons ou dans les foires …

Nous vous rappelons que les achats effectués sur un salon ou dans une foire ne peuvent faire l’objet d’un délai de rétractation (article L224.59 du Code de la Consommation). Toutefois, les achats réalisés à l’aide d’un crédit affecté c’est à dire un crédit dédié à cet achat, et les achats résultant d’une invitation personnelle à venir sur un stand, pour retirer un cadeau, par exemple, peuvent bénéficier d’un délai de rétractation de 14 jours. Lire la suite…

Enquête tarification bancaire : Les publics précaires pénalisés

Pour ce 17ème palmarès, nous avons étudié les tarifs en vigueur au 1er février 2017 dans 136 banques de métropole et d’outre-mer sur trois profils de consommateurs. Les résultats sont éloquents. Écarts de prix, hausse des tarifs, frais pour incidents : les consommateurs précaires sont les plus touchés.

Les écarts pour un même panier de services vont ainsi de 1 à 4 pour notre «petit consommateur», du simple au triple pour notre «consommateur moyen» et notre «gros consommateur». Lire la suite…